vendredi 15 février 2013

Recommandations


Que le studio porte mon nom ou parler à la première personne du pluriel, ce n'était pas mon choix et le cadet de mes soucis. Mais on me dit que les clients veulent voir la tête du photographe!!! Pas vraiment d'accord avec ça non plus, donnez-moi votre avis!
Bon nombre d'entre nous sont totalement inconnus, c'est le portfolio qui prime avant tout non? Le problème avec le vrai nom du photographe c'est qu'il n'est plus possible de dissocier les actions de la compagnie de celles de l'individu, ex: Scandal de la chanteuse de Rita mitsouko dans les années 80.

Cependant, je mise beaucoup sur les témoignages personnels et les recommandations, car une bonne partie de mon travail n'est pas diffusé pour des raisons de confidentialité des produits. Imaginez faire un «I like» sur la photo d'une technique pas brevetée!! C'est donc difficile de promouvoir son portfolio de cette façon. Les sites de réseaux sociaux ne s'appliquent pas pour moi, baboune ;-(

En attendant que vous me sollicitiez pour une présentation, je vais bientôt afficher quelques inédites. À lire prochainement.

J'oubliais, dernière recommandation LinkedIn « Manifestement préparé pour ce contrat, Josias s'est présenté sur le site, totalement impliqué, en sachant déjà ce que nous recherchions... Le fruit de son travail est sans compromis, un succès retentissant... » suite sur LinkedIn.

jeudi 14 février 2013

Les grands vins c'est pour tout le monde!


Ce n'est pas moi qui le dis, mais Yves Mailloux et je partage cette notion. On rajoutera qu'il n'est point vital d'être connaisseur pour en apprécier les nuances, pas besoin de nommer les subtilités, les savoir suffisent. Sur ce, cul sec ou plutôt tchin-tchin.

À l'occasion de cette séance photo, nous avons envahi le restaurant bon-D au 3036 rue Masson où nous saluons les membres de l'équipe pour leur sympathie. Consultez aussi l'article «Les grands vins c'est pour tout le monde!». À relire, tchin-tchin à 1200$.


lundi 4 février 2013

Modèle surprenante.

La visite d'un ami photographe de Québec accompagné de cette jeune modèle fut pour moi l'occasion de tester la direction artistique pour l'expo du mois de mai (SIIQ 2013 en collaboration avec Immigrant Québec). Trop de tests, non il n'y en a jamais assez pour mettre en lumière nos idées nocturnes. Cerveaux droit, à vos calepins de chevet.

Quelle est cette direction artistique: 6 personnalités, un reportage photo à la manière éditoriale en lumière naturelle rehaussée d'un flash d'appoint. À main levée, sans assistantes, dans un lieu où je n'ai pas le contrôle. Un résultat qui se base sur une improvisation avec peu de moyens, beaucoup de postproduction, un agrandissement géant.

C'est risqué, certes, mais je reste persuadé qu'en se basant sur le dialogue et l'identité des personnes, le résultat sera original. On doit toujours se dépasser pour avancer.

Ci-dessous (photos bonbons): Éclairage au néon de la bâtisse + une de mes recettes de noir et blanc + la technique argentique. Minimum de matériel, ceci évite d'être distant avec le modèle, beaucoup de postproduction, ce qui n'est pas grave, car l'important est d'optimiser la séance. Promis, il n'y aura pas de distributeur de bonbons dans les vraies photos.

Photos suivantes: Simple mur blanc du bureau ou tableau. Lumière ambiante + flash parapluie argent, beaucoup de postproduction.

Photos couleur: Set-up de lumière plus lourde de mon ami et moi (Américaine), contre une porte de la bâtisse. Simple flash d'appoint 1/16 de puissance avec lumière néon (couloir), beaucoup de postproduction.

Ici, un jeune modèle, toute une personnalité à découvrir, confrères photographes sollicitez  mariann.richard@hotmail.com. Josias

vendredi 1 février 2013

Une rose virtuelle

À l'aise, ni devant un micro, ni devant la caméra si elle filme. Encore moins devant les mots, ceux qui viennent des autres. L'écriture en relations publiques est un jeu d'échec où les coups ravissent l'adversaire. Dans ce monde où mousser un communiqué de presse est de mise, je préfère la finesse des mots justes. C'est dans ce cadre que je remercie Cécile Lazartigues-Chartier pour son regard, sa rédaction, sa justesse.

Extrait de la présentation auprès des modèles de l'expo au SIIQ 2013.
«À l’instar des thèmes récurrents de la vie, le concept d’identité porte en lui-même tous les paradoxes, toutes les vertus et tous les vices. S’il n’en fallait choisir qu’un, quel serait le fil d’Ariane qui nous permettrait de pouvoir embrasser une vision riche et claire de ce que nous sommes, de ce que nous avons en commun ? ... L’humain demeure l’essence même de sa raison de partager ce qu’il fait de mieux … aller vers l’autre, poser son regard, capter une étincelle de l’essence de la vie,  photographier»


Texte complet ici.
Merci Cécile