Pour test, j'ai monté ma lumière avec un softbox ridiculement grand à un pied du visage, ... Comme cobayes, mon p'tit comédien chéri, un modèle et moi-même. Le résultat sans postproduction est prometteur, car les familles d'angles et distances sujet-lumière font sortir tous les détails du visage.
C'est très rapide à faire comme c'est probablement dessiné dans mon Rhodia. Esquisses un jour, esquisses toujours. Quand on connait sa lumière (naturelle, ambiante, artificielle, contaminée) on peut se concentrer sur la composition, le modèle et l'intention de l'image à créer. Tel était l'ordre de la DA des 6 portraits de l'exposition.
Pour le shoot à venir, on y comptera cinq comédien(ne)s, un styliste plus coiffure et maquillage au airbrush pour les FX. Mais la réussite réside dans l'expression du personnage et pour ça on n'hésite pas à lui donner une bonne latitude, plus il a de l'espace, plus il se sent confortable.
Pour revenir aux esquisses, c'est comme se projeter dans un shoot, on peut tout faire, même avoir un semblant de contrôle sur les aléas. Ci-dessus, quelques idées ici et là, non réalisées pour la plupart. On y voit des portraits en duo, ex: les soeurs jumelles de l'exposition 2012. Imaginez deux associé(e)s très proches, un binôme hors du commun... Bref.
Comme m'a dit un grand frère photographe, il y a des opportunités avec des clients où les esquisses prennent vie, alors je continue à esquisser sans rien attendre, juste pour le plaisir. Jo
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